Ein Jahr in regem Austausch / Une année d’intenses échanges
Texte français ci-dessous
2022 war für den Schweizerischen Wissenschaftsrat ein Jahr der Begegnungen und des Austauschs. Wir möchten uns bei allen Personen und Institutionen bedanken, die die Aktivitäten des SWR unterstützt haben.
Liebe Leserinnen und Leser
Nach zwei Jahren, die stark von der Covid-19 Pandemie geprägt waren, konnte der Schweizerische Wissenschaftsrat SWR 2022 seine Kontakte wieder ausbauen. Zwar blieben wir auch heuer nicht ganz von virtuellen Treffen verschont. So konnte etwa im Januar die vom SWR organisierte Site Visit im Rahmen der Evaluation des Schweizerischen Nationalfonds SNF mit einem internationalen Panel noch nicht in Bern stattfinden. Das gilt auch für verschiedene Rundtischgespräche, wie demjenigen über die gymnasiale Bildung in der digitalen Gesellschaft. Bei anderen Gelegenheiten lud der SWR jedoch mit Freude zu «analogen» Veranstaltungen ein. Dazu gehören eine Medienkonferenz im Mai, eine Podiumsdiskussion zum Postdoc-Bericht im September sowie dann im Oktober das Treffen europäischer Wissenschafts-, Innovations-, und Technologieräten an der ETH in Lausanne. Dabei äusserten mehrere europäische Räte ihre tiefe Besorgnis über die Situation von Wissenschaftlerinnen und Wissenschaftler im Iran.
Die Kontakte des SWR mit den anderen Schweizer Wissenschaftsorganisationen – Akademien, swissuniversities, ETH-Rat, SNF und Innosuisse – waren so lebendig wie lange nicht mehr, nicht zuletzt wegen der Thematik der wissenschaftlichen Politikberatung. Zudem wollte ich dieses Jahr den Dialog mit Partnerinnen und Partnern von Politik und Verwaltung wieder intensivieren. Die Staatssekretärin für Bildung, Forschung und Innnovation (BFI), Martina Hirayama, diskutierte mit dem gesamten Rat an einer Plenarsitzung die SWR-Empfehlungen für die BFI-Botschaft 2025–2028. Mit Bundeskanzler Walter Thurnherr sprach ich über mögliche Verbesserungen in der wissenschaftlichen Politikberatung. Auch mit den Präsidenten der beiden parlamentarischen Kommissionen für Wissenschaft, Bildung und Kultur (WBK), Benedikt Würth (Ständerat) und Fabien Fivaz (Nationalrat) hatte ich einen sehr konstruktiven Austausch. Im November schliesslich konnte ich Bundesrat Guy Parmelin über die Aktivitäten des SWR und seine wichtigsten Empfehlungen informieren.
Der SWR mag zwar als ausserparlamentarische Kommission und Beratungsorgan des Bundesrates weniger im Scheinwerferlicht der Öffentlichkeit stehen als andere Organisationen. Das ist auch gut so. Trotzdem ist es mir ein grosses Anliegen, unsere Aktivitäten und Berichte nach aussen zu kommunizieren und in einen öffentlichen Dialog zu treten. Wir tun dies einerseits über klassische Medien. Beispiele dafür sind ein NZZ-Gastbeitrag zur Postdoc-Debatte oder Interviews in den Tamedia-Zeitungen und in Tele Z anlässlich der Publikation unseres Berichtes zur wissenschaftlichen Politikberatung. Andererseits sind wir vermehrt auch auf den sozialen Medien präsent, namentlich auf Twitter und Linkedin.
Last but not least möchte ich an dieser Stelle die Gelegenheit nutzen, mich bei meinen Ratskolleginnen und -kollegen sowie den Mitarbeitenden der Geschäftsstelle SWR für die ausgezeichnete Zusammenarbeit herzlich zu bedanken.
Wir freuen uns, auch 2023 mit den verschiedenen Akteuren aus unserem Tätigkeitsbereich zusammenzuarbeiten – innerhalb und ausserhalb der Schweiz. Ich wünsche Ihnen frohe Festtage und ein glückliches neues Jahr!
Sabine Süsstrunk, Präsidentin des Schweizerischen Wissenschaftsrates SWR
Pour le Conseil suisse de la science, 2022 a représenté une année de rencontres et d’échanges. Nous souhaitons remercier ici toutes les personnes ayant soutenu les activités du CSS.
Chères lectrices, chers lecteurs,
Suite à deux ans marqués par la pandémie Covid-19, le Conseil suisse de la science CSS a repris et étendu ses contacts en 2022. Certes, les rencontres virtuelles étaient encore au rendez-vous. Ainsi, la visite, organisée par le CSS dans le cadre de l’évaluation du Fonds national de la recherche scientifique FNS en janvier, n’a pu réunir les différentes parties à Berne, notamment un panel international d’experts. Cela vaut également pour différentes tables rondes comme celle consacrée à la formation gymnasiale dans la société numérique. En d’autres occasions, le CSS a cependant eu la joie de convier ses invités à un événement présentiel : en mai, lors de notre conférence de presse, en septembre, dans le cadre d’un échange-débat sur le rapport traitant des postdoctorants et en octobre, pour la rencontre des Conseils de la science au niveau européen, à l’EPF de Lausanne. Lors de cette rencontre, plusieurs des Conseils présents ont exprimé leur profonde préoccupation quant à la situation des scientifiques en Iran.
Les contacts du CSS avec les autres organisations scientifiques suisses – les Académies, swissuniversities, le Conseil des EPF, le FNS et Innosuisse – ont été animés d’un nouvel engouement, suscité notamment par la thématique du conseil scientifique dans le champ politique. En parallèle, tout au long de l’année, j’ai tenu à intensifier le dialogue avec les partenaires de la politique et de l’administration. La Secrétaire d’Etat à la formation, à la recherche et à l’innovation (FRI), Martina Hirayama, a discuté les recommandations pour le Message FRI 2025-2028 avec l’ensemble du Conseil lors d’une séance plénière du CSS. Avec le Chancelier d’Etat, Walter Thurnherr, j’ai abordé de possibles améliorations du conseil scientifique dans le champ politique. Les échanges avec les présidents des deux commissions de la science, de l’éducation et de la culture (CSEC), Benedikt Würth (Conseil des Etats) et Fabien Fivaz (Conseil national) se sont révélés très constructifs. Enfin, en novembre, j’ai eu l’opportunité d’informer le Conseiller fédéral Guy Parmelin des activités du CSS et de ses recommandations les plus importantes.
Comme commission extraparlementaire et organe consultatif du Conseil fédéral, le CSS apparaît relativement peu sous le feu des projecteurs. C’est très bien ainsi. Toutefois, il me tient à cœur de diffuser nos activités et rapports vers l’extérieur et d’entretenir le dialogue avec la sphère publique. Nous avons, d’une part, mis ce dialogue en pratique à travers les médias classiques. L’article d’invité paru dans la NZZ au sujet de la situation des postdoctorants ou les interviews pour les quotidiens du groupe Tamedia et de Tele Z à l’occasion de la publication de notre rapport sur le conseil scientifique dans le champ politique en sont les exemples. D’autre part, nous devenons plus actifs sur les réseaux sociaux, notamment Twitter et LinkedIn.
Enfin, je saisis l’opportunité de remercier chaleureusement mes collègues du Conseil ainsi que les collaboratrices et collaborateurs du secrétariat CSS pour notre excellente collaboration.
Nous nous réjouissons de continuer à collaborer en 2023 avec les différents acteurs de notre domaine d’activité, en Suisse et à l’étranger. Je vous souhaite de joyeuses Fêtes et une heureuse nouvelle année !
Sabine Süsstrunck, Présidente du Conseil suisse de la science CSS